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Le Volkswagen Tiguan se dévoile à L.A.

 

Volkswagen a choisi l'Amérique et le salon de Los Angeles pour présenter son futur 4X4 de loisirs compact, le Tiguan. Plus précisément, le Concept Tiguan, puisqu'il ne s'agit officiellement que d'un concept-car préfigurant la version qui sera commercialisée fin 2007. En réalité, le Concept Tiguan apparaît très proche de la série.

 

Le Toyota RAV4, référence du segment, n'a qu'à bien se tenir ! Le style musclé du Volkswagen Tiguan ne manque en effet pas d'allure: les ailes élargies et les grosses roues de 19 pouces lui assurent une forte présence sur la route, tandis que de trois-quarts arrière, le Tiguan affiche un lien de parenté évident avec son grand frère, le Touran. A l'intérieur, petite déception: la planche de bord banale provient d'une Golf Plus.

La déception s'arrête là, car le Volkswagen Tiguan se veut accueillant. Ses cinq places s'annoncent généreuses, tandis que la banquette arrière coulisse et se rabat en deux parties.

Le Volkswagen Tiguan existera en version à deux et quatre roues motrices. Le Concept Tiguan se dote d'un moteur diesel Bluetec, doté d'un filtre à particules et d'un piège à oxydes d'azote. Un tel bloc affiche des émissions compatibles avec les futures normes antipollution, qu'elles soient européennes ou américaines.

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Neeza: VW passe la seconde en Chine

Jusqu'alors, les constructeurs occidentaux implantés en Chine se contentaient d'y commercialiser les modèles de leurs gammes européennes, parfois d'ancienne génération hâtivement restylée pour faire « du neuf avec du vieux ».

Avec ce concept-car Neeza, Volkswagen franchit une nouvelle étape. Ce crossover a en effet été dessiné « en Chine, pour la Chine » ! Il préfigure un modèle de production qui sera exclusivement réservé à l'immense marché chinois.

Son style plutôt abouti ne déparerait pas dans les rues de Paris, Londres ou Berlin. Si la face avant apparaît très marquée par le sceau Volkswagen, le profil évoque davantage l'Audi Q7. La Volkswagen Neeza se distingue par sa garde au sol généreuse, sans doute dictée par la médiocrité du réseau routier secondaire chinois.

Les portières s'ouvrent en opposition sur un habitacle spacieux, qu'un éclairage sophistiqué transforme en « lounge » d'un bar à la mode. L'ensemble est illuminé par un vaste toit vitré.

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La Volkswagen Passat sort ses griffes

La Volkswagen Passat se lâche: fini l'anonymat des flottes TDI « spéciales VRP » ! Le salon d'Essen, en décembre prochain, sera en effet le lieu de naissance de la plus puissante des Passat : la R36 !

Son matricule désigne la cylindrée de son moteur, en l'occurence 3,6 litres pour ce V6 FSI à injection directe déjà apparu sur l'Audi Q7. Un bloc atteignant ici les 300 ch, et couplé pour l'occasion à la célèbre boîte DSG.

 La transmission intégrale 4Motion fait également partie du voyage. Extérieurement, la Passat R36 rompt avec le classicisme de ses petites soeurs, en arborant un kit carrosserie agressif, des ouïes d'aération béantes et des roues de 18 pouces généreusement chaussées.

A l'intérieur, l'aluminium règne en maître, tandis que deux sièges baquet prennent place à l'avant. Disponible en berline et en break, la Passat R36 atteindra les 250 km/h et sera capable d'accélérer de 0 à 100 km/h en seulement 5,6 s. Elle sera commercialisée au second semestre de 2007.

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Design L.A.: Volkswagen Nanospyder


A l'heure actuelle, les nanotechnologies restent cantonnées aux laboratoires. Mais qu'en sera-t-il en 2015 ?

Les stylistes californiens de Volkswagen ont pris le pari que les nanotechnologies auront alors conquis l'univers de l'automobile, et réinventé nos voitures. Le résultat de leurs réflexions : le Nanospyder.

Les objectifs du Volkswagen Nanospyder sont simples : être recyclable à 100 % afin d'être retiré du service au bout de 5 ans, et remplacé par un véhicule répondant aux dernières normes de sécurité.

Son assemblage ne se déroulerait pas sur une chaîne de montage classique, mais dans un large bassin d'assemblage où des milliards de nano-machines ne dépassant pas le demi-millimètre viendraient se fixer les unes aux autres au niveau microscopique. Cette étonnante méthode de construction permettrait d'obtenir des structures à la fois très solides et légères.

Plus fort encore : reliées à des capteurs, les nano-machines seraient capables de détecter une collision et d'ajuster la force de leurs liaisons afin d'assurer une absorption optimale de l'énergie du choc.

La carrosserie est revêtue d'une protéine végétale capable de produire de l'électricité par photosynthèse, électricité servant à la propulsion du Nanospyder.

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VW Golf R GTI : black mamba !

Au SEMA Show, l'énorme temple du tuning US, la plus ultime des Golf bodybuildée sème la zizanie avec ses quelques 400 ch !

Patibulaire, mais presque...

Quand les hommes de Volkswagen America décident de prendre part à la grand messe du tuning de Las Vegas, ils ne font pas les choses à moitié. C'est précisément le Centre de Design Californien de la marque et à sa tête, Derek Jenkins, Chef Designer et auteur notamment du « tricycle » GX3, qui a commis l'exubérant modèle. En prêtant un peu d'attention, on découvre qu'une bonne partie de la carrosserie a été refaite avec soin en carbone (capot, calandre, spoilers avant et arrière, bas de caisse, becquet, hayon, rétroviseurs...), le reste étant peint dans un noir mat du plus bel effet. Le tout n'est pas sans doter la compacte d'un look ténébreux et menaçant, comme en attestent l'énorme « bouche » dont le liseré rouge fait écho à la GTI de série, les jantes de 19 pouces ou la double sortie d'échappement trapézoïdale intégrée au centre d'un bouclier échancré à souhait.

Le 2.0 TFSI transfiguré !

A bord, ambiance « Dark Vador » et compet' garantie ! Ainsi on découvre des sièges baquets noirs et orange en cuir Recaro Pole Position, des harnais du genre sérieux, un volant en cuir retourné et les sigles de circonstance. Mais le plus épatant prend place à l'avant, où le 4 cylindres 2.0 TFSI, de 200 ch à l'origine, atteint pas moins de 375 ch, voire 400 avec de l'octane 100 ! Pour en arriver là, un turbo Garrett intervient notamment, pour permettre à cette GTI d'abattre le 0 à 100 km/h en moins de 5s. D'autres spécialistes de la préparation ont eu leur mot à dire sur cette réalisation, tels que H&R Tuning (suspensions), Brembo (freinage) ou Osir (éléments de carrosserie)... Aucune précision ne permet de savoir si cette Golf R GTI pourrait être commercialisée, ni de quel port d'arme il faudrait se prémunir pour la conduire, mais l'avenir nous le dira peut-être...

publié sur msn.fr

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Le come back d’un grand succès.

Il y a 33 ans, à l’occasion du Salon International de l’Automobile de Genève, Volkswagen
présentait un coupé hors du commun, à la fois compact, spacieux, rapide et racé. Baptisé Scirocco, il sut immédiatement séduire son époque : plus d’un demi million de Scirocco de la première génération furent produits dans le monde. En août 2006, Volkswagen innove avec la première mondiale d’une nouvelle interprétation de ce succès – le concept Iroc. Un nouveau design sportif pour Volkswagen : comme le premier Scirocco avec sa ligne épurée, le Concept Iroc marque un tournant avec une silhouette caractérisée par une calandre au design dynamique et ses courbes spécifiques. Les concepts des deux modèles sont étonnamment proches, même si plus de trois décennies les séparent. Le Scirocco, star des années 70, dessinée par Giorgetto Giugiaro, offrait quatre vraies places, un coffre digne de ce nom et un vaste hayon.


Le Concept Iroc a su s’en inspirer. Il s’affiche comme un véritable modèle sportif à la ligne fluide et au toit allongé terminé par une partie arrière relativement droite. Ce design présente deux avantages. D’une part, il confère au modèle des proportions compactes. Vu de l’arrière, sa silhouette offre une ligne puissante, digne d’une sportive. D’autre part, le Concept Iroc offre à l’arrière un espace suffisant pour deux adultes et un coffre capable d’accueillir de nombreux bagages. Ce concept conjugue style, plaisir de conduite et polyvalence au quotidien.


« Vert vipère » et carbone
Le Concept Iroc intègre de nombreux détails. Prenons l’exemple de la peinture. Loin d’être un simple remake rétro, la couleur verte du concept est un hommage à celle de la première génération de Scirocco et particulièrement au vert vipère du modèle de 1976. Cette nuance « vert vipère métallisée » d’aujourd’hui s’associe particulièrement bien aux éléments de carbone noir du nouveau concept. Ainsi l’élément central du toit, en verre teinté de couleur sombre, s’appuie sur une structure recouverte de carbone. Un renfort longitudinal est également réalisé avec les mêmes matériaux. Le revêtement en fibre de carbone des marchepieds habille aussi l’intérieur de l’habitacle.


 

Dimensions
Ses porte-à-faux réduits permettent au Concept Iroc d’utiliser efficacement son empattement de 2,680 mm en offrant un grand volume intérieur. Il a une longueur de
4 240 mm, une largeur de 1 800 mm et une hauteur de 1 400 mm. Ses jantes 19 pouces en alliage léger ont été spécialement développées et accueillent des pneus 235.

Twincharger et DSG
Le Concept Iroc est équipé d’un moteur TSI et d’une boîte DSG. Les moteurs TSI sont actuellement les quatre cylindres à essence les plus puissants grâce à la combinaison d’un compresseur et d’un turbo. Efficace dès le ralenti, le compresseur volumétrique compense la relative faiblesse du turbo classique à bas régime, en s’effaçant ensuite pour lui permettre de donner sa pleine puissance en montant dans les tours.
La motorisation utilisée sur le Concept Iroc développe 155 kW / 210 ch, mais d’autres moteurs peuvent parfaitement être envisagés, avec des puissances inférieures à 110 kW / 150 ch. Le seul paramètre indispensable à respecter pour ce concept étant le plaisir de conduite.


Design avant
Le design de la partie avant du Concept Iroc se caractérise par sa ligne dynamique.
Volkswagen a choisit d’utiliser des « images » fortes selon les modèles et les segments. C’est déjà le cas, par exemple, pour la Golf qui arbore la calandre typique de la Golf pour les versions Trend, Confort, Sport et Individual mais présente des variantes plus sportives pour les GT, GTI et R32.
Les parties extérieures de cette calandre sport spécialement conçue pour le concept Iroc sont réalisées en aluminium léger brossé. La structure en nid d’abeille est la signature traditionnelle des sportives de Volkswagen. Dessinée comme une entrée d’air hexagonale, cette grille descend jusqu’à la jupe avant qui intègre deux autres prises d’air à gauche et à droite pour le refroidissement des freins. Tandis que l’élément transversal supérieur de la calandre est aligné sur le capot, les sections latérales plus courtes viennent s’appuyer directement au niveau des optiques au xénon, intégrant également les phares. Les boîtiers des optiques sont positionnés assez bas et s’étirent en oblique le long des ailes, arborant, comme la calandre, le fameux « vert vipère ». La surface du capot se divise en trois : la partie centrale, plus large et légèrement plus basse, prolonge le dessin de la calandre en s’étirant en V jusqu’aux montants avant. Les parties latérales descendent légèrement pour épouser la courbe des ailes avant.


 

Une silhouette racée
Les courbes du Concept Iroc se déroulent avec élégance et fluidité. Ceci est particulièrement visible le long de la ligne qui prend naissance au-dessus du passage de roue avant et s’étire au-dessus des poignées de porte pour aboutir à l’angle supérieur des feux arrière nettement déportés vers l’extérieur. Les montants B élégamment dissimulés, les montants C au design distinctif, les vitres arrière encastrées et la ligne infinie du toit donnent à ce modèle une dynamique et une présence hors du commun. Le design des vitres arrière allège la forme compacte de l’Iroc et renverse les proportions classiques des voitures de sport : capot allongé et toit court. Tout ceci fait de l’Iroc une conception unique. Le becquet arrière renforce l’effet dynamique tant sur le plan du design que de l’efficacité.


Design arrière
Le Concept Iroc est une vraie sportive. Le rapport entre les proportions du toit et de l’épaulement avant détermine le caractère sportif du modèle. La ligne allongée du toit permet d’affiner considérablement les côtés et d’asseoir l’habitacle – l’ensemble constitué par le toit et les montants B et C – sur un épaulement, remarquablement esthétique. Ceci renforce visuellement la largeur de voie, déjà conséquente. Et les formes généreuses de cette partie forment un contraste intéressant avec les éléments plus stricts de la partie arrière.
Les contours des optiques arrière viennent prolonger les montants C. La ligne nette et épurée des vitres arrière se démarque nettement du hayon et de la caisse arrière. La largeur de voie, la courbe marquée de la ligne de toit, la présence d’un becquet de toit et d’un diffuseur intégré dans la jupe arrière, tous ces éléments renforcent l’allure puissante du Concept Iroc. Un autre détail : même les sorties d’échappement respectent les exigences en matière d’aérodynamique, avec leurs tubes aplatis, de forme trapézoïdale, qui prolongent la ligne du diffuseur vers l’extérieur.


 

Les phares : les projecteurs légèrement en oblique, véritable regard félin, renforcent l’allure éminemment souveraine du Concept A. Le cercle, élément caractéristique de Volkswagen depuis l’époque lointaine de la Coccinelle, est traversé par un bloc optique trapézoïdal. Les LED renvoient le motif traditionnel du phare rond dans le futur. Grille de calandre et optiques sont encadrées par des pare-chocs latéraux largement dimensionnés dont la ligne inférieure reprend et renforce visuellement le motif en V de l’avant. Ce V s’étire de la jupe de protection jusqu’aux montants avant en passant par la grille de la calandre.

Classique comme un cabriolet : à l’image du soft-top d’un cabriolet, le toit fait légèrement saillie au-dessus d’un pare-brise bas et plutôt droit. Les surfaces extérieures en aluminium des montants avant créent une référence visuelle sur laquelle s’appuient le pare-brise et le toit. Ces éléments constituent une caractéristique importante du design du Concept A, en représentant une rupture graphique par l’alternance des matériaux.


Design intérieur
Le Concept Iroc est un véritable quatre places polyvalent. Le hayon s’ouvre sur un coffre spacieux de plus de 300 l, un volume similaire à celui du Scirocco original. La capacité de chargement peut également être considérablement augmentée en rabattant les sièges arrière. Ceci permet de disposer d’une surface plane, dotée d’un système de glissières intégrées dans le coffre et le dossier des sièges rabattus, pouvant recevoir un système de verrouillage des charges transportées.


L’esprit résolument sportif de l’Iroc se reflète dans le concept de l’aménagement intérieur qui en fait un modèle adapté à un usage en compétition. Ceci apparaît déjà avec les sièges baquet qui équipent l’avant, dotés de ceintures cinq points et verrouillage central. Mais l’essentiel réside dans les cadrans. Les deux indicateurs ronds de la planche de bord, entièrement redessinés, constituent le point central d’attraction du cockpit. Leurs boîtiers en acrylique sombre accueillent un fond bleuté sur lequel se détachent douze barres lumineuses qui créent un effet de perspective en trois dimensions. Les indicateurs centraux sont encastrés dans deux anneaux en métal brillant. Sur le tableau de bord, comme dans d’autres parties de l’habitacle, la texture des surfaces est enrichie d’un motif cristal.


De manière générale, la plupart des matériaux utilisés sont des innovations radicales par rapport à ce qui a été fait jusqu’à présent. Les designers ont combiné avec succès des matières et des couleurs, comme par exemple le néoprène avec le « vert vipère », et ont utilisé des matériaux high-tech « respirants » du type des combinaisons spatiales (« noir titane »). Le tableau de bord s’orne de cuir noir, et l’ensemble des surfaces comme les portes, le toit, et les sols sont habillés d’une couche de revêtement carbone de couleur noire. Mentionnons quelques détails d’aménagement : le style et le design des poignées de portes intérieures en aluminium s’harmonisent avec ceux de la console centrale. Le levier de vitesse, lorsque le véhicule est à l’arrêt, se dissimule dans la console et se déplie en position normale seulement lorsque le contact est mis – c’est à la fois une protection anti-vol originale et une innovation technologique. Enfin soulignons deux derniers détails : le design hexagonal des bouches de sortie de l’air conditionné, couleur argent mat, qui correspond au design de la calandre. De plus, l’alignement d’interrupteurs type aviation est un hommage au monde des voitures de sport.